La nuit du renard est un roman policier de la très américaine Mary Higgins Clark, publié en 77 (vieux comme mathusalem donc), et qui a même reçu le grand prix de littérature policière en 1980 en France (fou nan ?! Nan. Bon).
Grosse merdo Sharon (la beubom du bouquin) et Neil (l’enfant apeuré) vont se faire kidnapper par un malade. Sachant que la mère de Neil s’est faite assassiner sous ses yeux, et que Sharon est la nouvelle meuf du père de Neil aka Steve (c’est bon tu suis toujours?) tu te dis que les personnages principaux ont quand même pas de bol.
En parallèle, t’as l’avenir du jeune Ronald (aka le meurtrier présumé de la femme de Steve) qui est en jeu, il a été condamné à la peine de mort (rapport à l’assassinat de Nina (mais si, tu sais la femme de Steve)).
Suspens et boule de gomme donc…
Cela étant posé, ce livre m’a pris aux tripes, j’ai eu peur, j’ai eu des guilis d’angoisse dans le ventre, je me suis fait mon film dans ma tête.
Bref j’ai lu mon premier Mary Higgins Clark et j’ai pris mon pied.