Road Trip Jordanie – La vallée de Dana et le Wadi Rum

« Dans la valléee, Wow Wow… » c’est la chanson, qui nous a accompagné pendant 2 jours dans la vallée de Dana. L’aventure commence sur la route des rois, où nous nous perdrons pendant 4h30. Ici personne ne connaît Dana, c’est un petit village avec quelques familles, un bijou d’écotourisme et the place to be des randonneurs. Les habitants de Dana ont vécu très longtemps en autarcie, grâce à 5 sources qui jaillissent à proximité du village, du coup on est bien loin de la foule de touristes, c’est sommaire et c’est pour ça qu’on a choisi Dana (on a dormi au Dana Hôtel parfait pour une nuit).

Si tu aimes marcher, il faut venir dans la vallée; les excursions y sont nombreuses et les paysages époustouflants. Le soir au coucher du soleil, on apprécie le silence qui s’abat sur le village et on écoute le bruit du vent en observant la vallée au loin. C’est beau, c’est magique, et presque mystique.

Pour atteindre le Wadi Rum, on emprunte la route du désert, qui nous donne un avant goût  et fais monter l’excitation de notre rencontre (spoiler: le désert et moi on a accroché et même qu’on a fais des checks). Arrivées au visitor’s center, on gare notre voiture sur le parking surveillé et on attends notre guide qui nous emmènera sur notre camp.

Le désert c’est LE truc à faire en Jordanie, n’hésitez pas à y passer 3 jours, à dormir dans un vrai camp écotouriste, c’est unique. Coupées du reste du Monde, on profite du moment présent, on ne fais presqu’un avec la nature qui nous entoure. Les dunes de sable (variant du rouge au jaune), les canyons, les falaises, les plus hauts sommets de Jordanie (1700 mètres), le ciel, l’horizon, les oiseaux, tout semble immense.

Dans le désert, on a beaucoup marché, on a escaladé des montagnes et fais des pauses bloggeuses sur les ponts de pierre, on a contemplé l’infini, on a été silencieuse, on a testé le henné et le eyeliner naturel, on a porté le turban comme de vraie bédouine, on a cuisiné dans le sable, regardé des couchers de soleil époustouflants et contemplé les étoiles dans le vide, on a croisé des chameaux sauvages et beaucoup d’hirondelles. Le désert c’est indescriptible, il faut le vivre.

Mon guide dans le désert et pour le camp: Salem Ali Zalabiah (http://jordan-nomads.com)

 

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