La Corse, voilà ce qu’on m’en dit: « les plus belles plages, les plus belles montagnes, les plus beaux cons… » Du coup, j’décide de passer mes vacances d’été (en septembre, faudrait quand même pas se taper les mioches avec leurs pelles et leurs gazouillis sur la plage) sur cette île pour me forger ma propre opinion et élucider le mystère corse.
Nos valises se posent à Sotta (petit village de campagne) dans un camping hippie où il est bien vu de dîner tous ensemble à la bonne franquette en se refilant les tuyaux des plus belles plages de sable blanc et celles aux fessiers les plus nus. Autant te dire qu’on a bien écouté, noté tous les conseils et suivi un peu notre instinct.
Sans conteste, la Corse mérite son surnom d’île de beauté, parce que niveau plages paradisiaques on en a eu pour notre biff. Dans le sud, tout au long de la côte tu peux t’arrêter pour trouver des plages d’une eau plus transparente que tes méduses et tremper tes pieds dans la mer (faut savoir que j’aime pas trop me baigner, rapport à la peur du vide dans les océans) avec des poissons trop mignons. En images les plages de Rondinara, Palombaggia et Pinarellu:
Proche de la ville de Porto-Vecchio, on est allé y faire un tour. Après une ballade sur le port, on chauffe les mollets en rampant grimpant vers la citadelle (pour les plus feignants y a même un petit train qui vous y emmène direct). On passe sous la porte génoise et on déambule dans la vieille ville, où restaurants et magasins de souvenirs jonchent les trottoirs. Direction le bastion de France pour profiter de la vue panoramique sur la ville basse et les marais salants au coucher du soleil. Après cette marche active, on finit en beauté en prenant un verre sur le parvis de l’église devant le manège enchanté.
Bilan de ce début de vacances et des plages paradisiaques:
Corse: 1 / Mauvaises langues: 0